Nouvel accent du FAPJ: Préservation de la création

Depuis ses débuts, le Forum anabaptiste pour la paix et la justice (FAPJ) s’est presque exclusivement occupé de préoccupations sociales et de politique de paix ou pacifistes. La destruction de la nature, la crise climatique, les thèmes liés au réchauffement ainsi que la biodiversité étaient rarement évoqués. Cela va maintenant changer.

Nous sommes heureux que le groupe de base du FAPJ s’élargisse et que cette thématique prenne ainsi une nouvelle ampleur. En janvier 2024, Marlène Eyer a expliqué pourquoi et de quelle manière elle s’engageait pour les thèmes du climat et de la création. Il est ressorti des différents entretiens que le groupe de base actuel sera élargi et que le climat, la création et la biodiversité seront ajoutés comme nouvelle priorité. Les thèmes actuels continueront à être traités et le rythme actuel des circulaires avec des informations, des annonces et des approfondissements sur nos thèmes sera maintenu. Après un an, nous ferons une rétrospective et évaluerons nos expériences. Certains membres de l’actuel groupe de base sont intéressés par une réduction de leur temps de travail ou par un retrait, en raison de leur âge. Beaucoup de choses dépendent donc de notre capacité à trouver de nouvelles forces, et surtout des forces plus jeunes, pour le FAPJ. Nous sommes sereins : Les institutions ne sont pas là pour se maintenir elles-même, mais pour servir une cause qui les dépasse. C’est dans cet esprit que nous faisons appel à celles et ceux qui s’intéressent aux thèmes du Forum et qui aimeraient contribuer à ce que les sujets pertinents pour nous tous soient abordés avec engagement, compétence et profondeur. Nous savons tous que le souci de la création , du climat et de la biodiversité est inséparable de la justice et de la paix.

1 réflexion au sujet de « Nouvel accent du FAPJ: Préservation de la création »

  1. Bravo!
    Oui, la paix avec Dieu, avec soi et l’autre va de pair avec la paix avec la création.
    De tout coeur avec vous.
    Amitiés.
    Roger Zürcher, Lausanne

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